Attacks on a besieged rebel-held suburb of the Syrian capital intensified over the past week, killing more than 80 civilians.
Bachar, moi ou le chaos
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Bachar El-Assad, le pouvoir ou la mort
- Genre : Documentaire - Société
- Année : 2017
"Quand létat t'enseigne a tuer, il se fait appeler patrie."
MARDI 20H55 : "Bachar El-Assad, le pouvoir ou la mort" mardi 12 ...
«Jusqu'à quand, les puissances vont-elles permettre à cette situation de traîner?
Le groupe de secours volontaire Syrie Civil Defense a déclaré que plus de 200 attaques aériennes ont frappé la région de la Ghouta orientale de la région rurale de Damas depuis mardi dernier.
Les reportages d'Al Jazeera, Osama Bin Javaid, proviennent de Gaziantep, près de la frontière entre la Turquie et la Syrie.
Selon les autorités géorgiennes, une cinquantaine de ressortissants du pays seraient engagés en Syrie et en Irak aux côtés du groupe Etat islamique. Il s'agirait notamment de membres de la minorité musulmane tchétchène.
Aleppo, Damascus countryside
La réaction brutale des services de sécurité de l'Etat provoquée par ces manifestations et la rébellion armée qui a éclaté à travers la Syria ont fait que Jobar a été pris au dépourvu. La municipalité s'est retrouvée en première ligne entre le régime d'Assad et ceux qui tentaient de le renverser. .
Plus de cinq ans plus tard, Jobar est méconnaissable - une relique vide brisée par la bombe de ce qu'elle était autrefois. C'est un monument tragique pour les 250 000 personnes qui remplissaient les avenues de Jobar d'animation et de bruit mais qui ont été chassées par la mort et la destruction et la sauvagerie explosive qui évoque immédiatement Guernica ou Stalingrad ou l'un des autres abattoirs urbains tristement célèbres du siècle dernier.
La Syrie de Bachar El Assad : Bachar, moi ou le chaos - vidéo Dailymotion : Bachar el-Assad Documentaire - Video Dailymotion
Situé à quelques kilomètres à l'est du centre du vieux Damas et de quelques-uns des monuments les plus connus de la ville - et juste un peu plus du monolithe moderniste pompeux qu'est le palais présidentiel syrien - la banlieue de Jobar était autrefois paisible et endroit modestement prospère. Il est probablement le plus célèbre comme le site de la synagogue Eliyahu Hanavi du 8ème siècle, un lieu de pèlerinage juif pendant des siècles.
Sinon, c'était le genre de zone agréable où les gens ordinaires gravitent quand ils veulent élever leurs enfants, vaquer à leurs occupations et continuer leur vie: des rues sans prétention de magasins, d'immeubles, de bureaux, de cafés, d'écoles de quartier et mosquées.
Puis vint le Arab Spring -printemps arabe, le soulèvement syrien de 2011 et la guerre dévastatrice qui s'ensuivit. Comme dans d'autres parties de la capitale et du pays, de nombreux habitants de Jobar ont rejoint les premières manifestations pacifiques contre le président Bashar al-Assad, en cherchant des réformes démocratiques et des changements de politique.
Envoyé spécial : Bachar : un ami encombrant - le 8 juin 2017 (France 2)
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Ce qui n'empèche pas le boom des affaires : ace Lord of War (VF) - Bande Annonce
Laurent Delahousse hosts a special show to try to better understand what is happening in Syria and what will bring about the fall of the Islamic State. The evening begins with the diffusion of the new documentary film "Bashar El-Assad, power or death", directed by Christophe Widemann. the film draws the portrait of this doctor who became a dictator, of a man with a double face: the shy doctor Bachar, who has long seduced the West, and promised to advance his country towards more democracy, and the terrible Assad, dictator who fights his own people in a civil war with hundreds of thousands of victims. Thanks to the testimonies of his relatives and former executives of the regime, the film tells the rise of a man who should not be president, and decrypts a system that resembles that of the mafia. The documentary will be followed by a decryption on the set ...
Laurent Delahousse anime une émission spéciale pour tenter de mieux comprendre ce qui se passe en Syrie et ce que va entraîner la chute de l'État Islamique. La soirée débute avec la diffusion du film documentaire inédit «Bachar El-Assad, le pouvoir ou la mort», réalisé par Christophe Widemann. le film dresse le portrait de ce médecin devenu dictateur, d’un homme au double visage : le timide docteur Bachar, qui a longtemps séduit l’Occident, et promis de faire avancer son pays vers plus de démocratie, et le terrible Assad, dictateur, qui combat son propre peuple dans une guerre civile aux centaines de milliers de victimes. Grâce aux témoignages de ses proches et d'anciens cadres du régime, le film raconte l'ascension d'un homme qui ne devait pas être président, et décrypte un système qui ressemble à celui de la mafia. Le documentaire sera suivi par un décryptage en plateau...
C’est une épine dans le pied du nouveau président Macron, son dossier le plus brûlant sur la scène internationale : Bachar Al-Assad, l’ex-ami de la France, est devenu le cauchemar de notre diplomatie. Au nom de la lutte contre la menace terroriste, peut-on pactiser avec un dictateur qui a mis son pays à feu et à sang ? Faut-il renouer avec lui et en faire notre allié dans le combat contre Daech ? Ce documentaire inédit de 52 minutes, le "Document de Complément d’enquête", réunit les acteurs majeurs qui se sont heurtés au "casse-tête Bachar" : Laurent Fabius, Alain Juppé, Claude Guéant, Jean-Yves Le Drian mais aussi des agents du renseignement et d’anciens amis d'Al-Assad. Ils revisitent vingt ans de relations sulfureuses avec l’homme fort de Damas, vingt ans d’illusions et de paris perdus. Dans cette enquête, François Hollande revient sur les frappes françaises avortées contre le régime syrien en 2013. L’occasion, selon le président sortant, d’en finir avec "le régime du tyran Bachar". Un reportage réalisé par Romain Boutilly, Florian Le Moal et Vincent Buchy.
Sept ans après le début de la guerre en Syrie, les scènes d’exode des populations civiles continuent. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), plus de 30 000 civils ont fui, jeudi 15 mars 2018, l’enclave kurde d’Afrin, dans le nord-est de la Syrie. Depuis le 20 janvier, l’armée turque combat les forces kurdes du YPG (Unités de protection du peuple) pour leur reprendre la ville.
A 400 kilomètres, dans l’enclave rebelle de la Ghouta orientale, environ 20 000 autres civils ont fui en moins de vingt-quatre heures. Depuis plus d’un mois, l’enclave rebelle subit les bombardements du régime de Damas. Sept ans jour pour jour après le début du conflit syrien, le président Bachar Al-Assad, soutenu par la Russie, semble sur le point de reprendre la totalité de ce fief rebelle situé aux portes de Damas.
Le régime Assad a repris le contrôle de la deuxième ville du pays, remportant sa plus grande victoire depuis 2011.
Déluge de critiques, bagarres sur les réseaux sociaux, claquements de portes : au lendemain de la chute d'Alep – l'armée syrienne a annoncé jeudi avoir repris le contrôle total de la ville –, l'opposition syrienne semble plus que jamais en proie aux doutes et aux divisions. « On est totalement dépassés par les événements. Tout le monde est frustré, démoralisé, révolté », confie Abdel Ahad Steifo, le vice-président de laCoalition nationale syrienne (CNS), le principal rassemblement anti-Assad, basé à Istanbul, qui fut longtemps l'interlocuteur privilégié des capitales arabes et occidentales.
« Inventaire »
« On a beaucoup trop laissé de champ sur le terrain aux salafistes et aux djihadistes, alors que, on le voit, ces gens qui ont kidnappé la révolution sont aussi incapables de mener une guerre, renchérit M. Steifo, dans une allusion aux groupes armés radicaux, dominants au sein de l'insurrection. On s'est trop reposés aussi sur nos alliés, qui n'ont rien fait, au moment où l'on avait le plus besoin d'eux, ajoute l'opposant, incriminant à mots couverts les Etats-Unis et les puissances européennes, qui ont multiplié les déclarations outragées mais vaines, et les monarchies du Golfe, notoirement silencieuses durant l'écrasement final des quartiers rebelles. On essaie de dresser un inventaire, pour présenter une nouvelle stratégie. »
« Beaucoup de bluff »
Inquiet de perdre son monopole sur les négociations et persuadé que le président Assad n'acceptera jamais de céder le pouvoir de lui-même, le HCN tente de faire barrage aux manœuvres de Moscou. « La Russie etl'Iran s'efforcent de minimiser le rôle des Nations unies et de prolonger la souffrance du peuple syrien », a accusé Salem Al-Meslet, un porte-parole du HCN
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VIDÉO - À la faveur de cet assaut lancé le 18 février, le pouvoir de Bachar al-Assad a repris 70% de cet ultime bastion rebelle aux portes de Damas. Les habitants, eux, continuent de fuir par centaines l'offensive du régime syrien pour reconquérir totalement cette région.
Des corps « complètement calcinés »
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Ancien « poumon vert » de Damas, situé à l’est de la capitale de la Syrie, la Ghouta orientale est un fief rebelle qui fait, depuis 2013, l’objet de bombardements quasi quotidiens.
Cette année-là, le conflit prend un nouveau tournant dans la zone avec des attaques chimiques dans les alentours de Damas ; en mai, les journalistes du Monde sur place sont les premiers à être témoins d’attaques chimiques lancées à l’entrée de la capitale durant plusieurs jours. Mais c’est surtout lors d’un massacre durant la nuit du 21 août de la même année que ces armes sont utilisées massivement.
Faïlak al Rahman, un des deux principaux groupes rebelles de la Ghouta orientale, va entamer aujourd'hui des discussions avec des négociateurs russes pour "mettre fin aux souffrances humaines" dans l'enclave assiégée et pilonnée par les forces gouvernementales syriennes et leurs alliés, a déclaré son porte-parole à la chaîne télévisée Al Hadath. Waël Alwan, porte-parole basé à Istanbul du groupe affilié à l'Armée syrienne libre (ASL), la branche la plus modérée de la rébellion contre Bachar al Assad, avait déclaré hier soir qu'un accord de principe avait été conclu en vue d'un cessez-le-feu qui devait entrer en vigueur à minuit dans le secteur qu'il contrôle dans la Ghouta.
Ce secteur englobe les localités d'Arbine, Aïn Terma et Zamalka. En dépit de cette annonce, ces deux dernières villes ont été la cible de nouveaux bombardements aériens vendredi matin, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Des raids aériens ont aussi visé aujourd'hui la ville la plus peuplée de la Ghouta, Douma, tenue par les islamistes de Jaïch al Islam, ajoute l'OSDH.
Le début d’exode, après un mois de bombardements aériens, rappelle les premières sorties, dans la panique, des habitants des quartiers de l’est d’Alep, lorsque l’offensive terrestre des forces prorégime avait débuté, en novembre 2016. Ces départs, depuis la Ghouta orientale, étaient un scénario redouté
Depuis le début de la guerre, Jaramana a déjà été ensanglantée par des attentats ou des tirs d’obus sporadiques. « Mais jamais une attaque à la roquette aussi grave ne s’était produite, insiste Houssam. C’est d’autant plus tragique qu’il s’agit d’une zone où beaucoup de déplacés de la Ghouta orientale ont trouvé refuge au cours des dernières années. Ils vivent l’offensive dans l’angoisse pour leurs proches et pour leur avenir : où retourneront-ils un jour, au milieu d’une telle destruction ? »
Si, dans l’est de Damas, la vie est « paralysée » selon Houssam, elle poursuit son cours dans le reste de la ville, où les tirs de mortiers sont rares. Le centre de Damas n’a toutefois pas été épargné par les obus lancés sur la capitale, jeudi, qui ont fait septs morts selon l’OSDH. Les coupures d’électricité ont cessé. Les employés se rendent au bureau, même si l’activité tourne au ralenti. On y vit au son continu des bombardements aériens et des tirs d’artillerie des forces prorégime sur la Ghouta orientale, qui ont fait plus de 1 500 morts parmi les civils depuis le 18 février, selon l’OSDH.
« Tout le monde, dans la capitale, veut que l’offensive se termine au plus vite, affirme Anas, un habitant de Damas. Mais les approches sont différentes : certains déplorent l’intensité du déluge de feu qui s’abat sur la Ghouta orientale, tout en considérant que les insurgés prolongent les souffrances des habitants en refusant de rendre les armes. Car c’est un combat perdu d’avance pour eux. D’autres au contraire, les plus radicaux, veulent que la poche rebelle soit durement matée. »
Des militants de l’opposition dénoncent la tactique de la terre brûlée menée par le régime
Ils s’inquiètent que ces départs, depuis des localités où nombre de rues ont été transformées en champs de ruines par les frappes aériennes des forces russe et syrienne, soient irréversibles. Si, dans l’est d’Alep, d’importants retours ont eu lieu l’année passée, d’autres localités reprises par le régime, comme Daraya, proche de Damas, sont des lieux fantômes : aucun habitant n’a été autorisé à y revenir depuis l’été 2016.
A partir de 2015, des dizaines de civils sont affectées par les pénuries de nourriture et de médicaments.
Depuis l’été 2017, la région est censée être une des « zones de désescalade » créées en vertu d’un accord entre la Russie, l’Iran — principaux soutiens du régime — et la Turquie, qui appuie l’opposition. Mais les bombardements n’ont jamais cessé. Le 5 février, le régime lance une offensive aérienne d’une intensité inédite qui se poursuit actuellement par une offensive terrestre. Selon, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, plus de 1 300 civils sont morts près d’un mois dans l’enclave rebelle.
ENQUÊTE - Dans l'un des derniers bastions rebelles aux portes de Damas, cible depuis le 18 février d'une offensive meurtrière du régime syrien et de ses alliées russes et iraniens, des dizaines de milliers d'habitants se terrent dans des sous-sols pour échapper aux bombardements.
Les derniers bus transportant des rebelles et leurs proches évacuant la poche sud de la Ghouta orientale, aux portes de Damas, ont quitté samedi cette enclave, désormais "vidée" de ses combattants insurgés, a annoncé l'agence de presse officielle syrienne Sana.
Des négociations entre les rebelles et la Russie, alliée du régime syrien, sont en cours pour trancher le sort de l'ultime poche insurgée dans la Ghouta orientale, autour de la grande ville de Douma, tenue par le groupe Jaich al-Islam. La reprise totale de la Ghouta marquerait une victoire retentissante pour le régime dans la guerre qui ravage la Syrie depuis 2011.
Moscou et Damas utilisent dans la Ghouta orientale une tactique qui a largement fait ses preuves depuis l'entrée en guerre de la Russie et de sa puissance de frappe aérienne, en 2015, pour venir à bout d'autres bastions rebelles dans le pays: assiéger une région, la bombarder intensivement puis lancer une opération terrestre et offrir finalement aux insurgés un libre passage vers d'autres régions rebelles.
« Cycle de vengeance »
Pour les loyalistes les plus convaincus, la reprise de la Ghouta orientale sera une nouvelle étape vers la reconquête totale du pays. Ils se félicitent déjà de la victoire à venir. La visite de Bachar Al-Assad sur le front, le 18 mars, les a galvanisés.
« Du point de vue des autorités, il était inconcevable de maintenir une présence rebelle aux portes de Damas. La possibilité que des obus tombent sur la capitale réduisait à néant les efforts du gouvernement pour présenter la ville comme sûre et attirer des investisseurs », commente un observateur qui se rend régulièrement en Syrie. Les habitants de Damas, eux, confient leur épuisement face à la guerre et leur aspiration à tourner la page. « Mais que va-t-il se passer ensuite, une fois que les combats cesseront ?, se demande, pessimiste, Houssam. La violence à l’œuvre ne fait que nourrir un peu plus la haine. Elle va attiser un cycle de vengeance. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/syrie/article/2018/03/22/a-damas-tout-le-monde-veut-que-l-offensive-de-la-ghouta-orientale-finisse-au-plus-vite_5274774_1618247.html#WlfZxMg0mtsFdb8F.99
The aid does not include medical supplies.
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