The Story of Stuff

 

 

Did you like this video? Support The Story of Stuff Project! bit.ly/supportstoryofstuff From its extraction through sale, use and disposal, all the stuff in our lives affects communities at home and abroad, yet most of this is hidden from view. The Story of Stuff is a 20-minute, fast-paced, fact-filled look at the underside of our production and consumption patterns. The Story of Stuff exposes the connections between a huge number of environmental and social issues, and calls us together to create a more sustainable and just world. It'll teach you something, it'll make you laugh, and it just may change the way you look at all the stuff in your life forever. http://storyofstuff.org

 

De la servitude moderne,
 

De La Servitude Moderne  par ClaVieFrere2011 . l. L’endettement de l’Etat :  cf voir l’article cfLien entre capitalisme et l’endettement - Antalya

Stéphane Foucart, journaliste au service Planète, a répondu à vos questions sur le manifeste publié par quinze mille scientifiques qui mettent en garde contre la destruction rapide du monde naturel.


 « C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l’écoute pas. » Victor Hugo

Le pillage des ressources de la planète, l’abondante production d’énergie ou de marchandises, les rejets et autres déchets de la consommation ostentatoire hypothèquent gravement les chances de survie de notre Terre et des espèces qui la peuplent. Mais pour laisser libre court au capitalisme sauvage, la croissance ne doit jamais s’arrêter. Il faut produire, produire et reproduire encore. Et ce sont les mêmes pollueurs qui se présentent aujourd’hui comme les sauveurs potentiels de la planète. Ces imbéciles du show business subventionnés par les firmes multinationales essayent de nous convaincre qu’un simple changement de nos habitudes de vie suffirait à sauver la planète du désastre. Et pendant qu’ils nous culpabilisent, ils continuent à polluer sans cesse notre environnement et notre esprit. Ces pauvres thèses pseudo-écologiques sont reprises en cœur par tous les politiciens véreux à cours de slogan publicitaire. Mais ils se gardent bien de proposer un changement radical dans le système de production. Il s’agit comme toujours de changer quelques détails pour que tout puisse rester comme avant. 

 Le Dessous des cartes - ARTE Malgré le développement des énergies alternatives, le charbon occupe encore une place importante dans l'énergie mondiale. D'un excellent rendement calorique, c'est aussi une énergie fossile très polluante, responsable à elle seule de la moitié des émissions de dioxyde de carbone produites par le secteur de l'énergie. Pourtant, son avenir est loin d'être menacé. Magazine (France, 2017, 13mn) ARTE F 

 Matière première la plus utilisée au monde après l’eau, le sable est partout : dans les déserts, les mers et les rivières. Pourtant, on en manque de plus en plus. Avec des gros plans sur le Cap-Vert, Singapour, le Viêtnam, l'Inde ou la Bretagne, "Le Dessous des cartes" fait le tour d'une problématique aux multiples enjeux : économiques, écologiques, géopolitiques et même criminels. Magazine (France, 2017, 13mn) ARTE F 

Le Dessous des cartes - ARTE ,  

Le Sable Enquête sur une Disparition ARTE HD Documentaire. Denis Delestrac. Voici lextrait dun reportage sur un phénomène à peine croyable, la disparition . 

 Le Sable Enquête sur une Disparition ARTE HD Documentaire

n Au Maroc, les marchands de sable dépouillent les plages

Des filières légales et clandestines se disputent le sable nécessaire à la confection du béton. Le trafic est tel que des plages entières sont menacées de disparition.



Le long du littoral marocain, les « marchands de sable », maîtres-d’œuvre d’un business semi-mafieux, recrutent ainsi des centaines d’enfants. « Des fourmis face aux filières organisées qui disposent de gros moyens et du soutien des autorités pour dépouiller les plages », explique un fin connaisseur de ce milieu. Karim, lui, assure travailler « pendant les vacances d’été ». Mais vont-ils vraiment à l’école le reste de l’année ?

D’après les habitants des villages alentours, le trafic ne cesse jamais. Non loin de là, les propriétaires des ânes surveillent, méfiants. Ce sont eux qui, au bas de l’échelle, tirent les premiers bénéfices du pillage du sable, vendu 100 dirhams (9 euros) le mètre cube à des fournisseurs de matériaux de construction. Karim, lui, touche 40 dirhams (un peu moins de 4 euros) la journée.

 

Partout dans le pays, des poids lourds sillonnent les routes, transportant des tonnes de ce matériau pour satisfaire les besoins sans fin des promoteurs immobiliers. Comme il faut deux tiers de sable et de graviers et un tiers de ciment pour produire du béton, ce granulat est devenu la deuxième ressource naturelle la plus consommée sur la planète, après l’eau et devant le pétrole.

 

ENQUÊTE Au Maroc, les marchands de sable dépouillent les plages