Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
syd-vicious
20 janvier 2018

Trump, 300 jours

n

Ajoutée le 30 avr. 2017

Les 100 premiers jours de Donald Trump à la Maison Blanche ont été déroutants à plusieurs égards sur le front de la politique internationale. Raids en Syrie, en Afghanistan, nouvelle entente avec la Chine ou désamour avec la Russie de Poutine, le nouveau président américain se révèle imprévisible, comme l’on pouvait s’y attendre. Au niveau national, la résistance s’organise. Géopolitis, une émission de la Radio Télévision Suisse, dimanche 30 avril 2017.​ ​ Le site de Géopolitis : http://geopolitis.ch #géopolitis

 
Trump, 100 jours - YouTube 

Il y a un an, le tonitruant Donald Trump accédait à la Maison-Blanche, après une campagne présidentielle marquée par les outrances d'un candidat qui entendait briser tous les codes politiques. Depuis, de la Corée du Nord à l'affaire russe en passant par la réforme fiscale ou le décret migratoire, le président Trump est dans la continuité du candidat, avec des hauts et des bas, des retournements de situation et une incertitude pesante mis en scène sur Twitter.

» LIRE AUSSI - Donald Trump: un an de fracas, peu de résultats

Mais à l'inverse de cette instabilité dans l'exercice du pouvoir, la popularité du président américain résiste pour l'instant à toute variation, que ce soit dans un sens ou dans l'autre. En chiffres et en graphique, Le Figaro revient sur l'évolution de l'opinion américaine vis-à-vis de Donald Trump.

Une Amérique coupée en deux 

 Trump moins populaire que les autres présidents américains? Oui, mais...  Donald Trump conserve l'électorat républicain

Les résultats selon les préférences politiques illustrent cette coupure nette entre pro-Trump et anti-Trump. Le président américain n'a guère perdu son électorat, de même plus largement que l'électorat républicain.

 
«Le président américain n'a pas seulement bien résisté, il a posé les bases d'un véritable système Trump, fondé sur une division profonde de l'Amérique», conclut l'universitaire. L'affaire russe sur une possible ingérence russe lors de la campagnepourrait-elle défaire ce système? «Pour l'instant, Donald Trump n'est pas pénalement inquiété. Au contraire, cette affaire lui permet de se victimiser auprès de sa base. C'est la théorie du chaos qu'il applique depuis le début de sa campagne», estime Jean-Eric Branaa. «Elle peut avoir un impact à la marge. Les hostiles n'en ont pas besoin pour être hostiles, les fans resteront fans et prétexteront le complot, la cabale, la persécution, mais c'est au centre que ça se joue. Ça dépendra aussi de ce qui sort de cette affaire. S'il apparaît comme un escroc, ou pire, un traître antipatriote, là oui il peut y avoir un retour de bâton au centre et chez les républicains modérés», modère Lauric Henneton, qui conclut à son tour: «Il faut rester prudent. Donald Trump a résisté à toutes les catastrophes annoncées. Si on se fie à beaucoup de choses qui paraissaient évidentes, il ne serait pas président».

 

 

 

Budget américain : Trump dépoile la diplomatie pour rhabiller l'armée

20/01/2018 Trump, les 100 jours

18 janvier 2018 Trump ou la diplomatie pyromane |

Publicité
Publicité
Commentaires
syd-vicious
Publicité
Archives
Publicité