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syd-vicious
12 novembre 2017

lA MARQUE TRUMP

 

 
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13Etats-Unis : Steven Mnuchin, ancien de Goldman Sachs, nommé secrétaire au Trésor le 30/ 11/2016 Alors que Donald Trump n’a eu cesse de fustiger « les élites de la finance » pendant la campagne présidentielle, Steven Mnuchin, qui a travaillé pour la banque Goldman Sachs, annonce qu’il sera secrétaire au Trésor dans la prochaine administration américaine.  

Donald Trump : la première « marque » présidentielle

La Maison Blanche se désintéresse des détails du législatif et se concentre sur la promotion de la « marque » Trump. Les médias peinent à dépeindre Donald Trump. 

La Maison Blanche est – à peine – dirigée, et  abrite une marque de chair et d’os en la personne de Donald J. Trump président-élu. La signification de tout ceci doit être mise en perspective afin de lui donner de la clarté – comme si on mettait une religieuse devant une maison close.

Rappelons qu’aucun membre du Congrès n’a seulement pris la peine de lire l’Obama Care, alors même que cela touche près d’un sixième de l’économie américaine. Comme Nancy Pelosi, l’ancienne présidente de Chambre, le disait à l’époque : « il nous faut adopter le projet de loi afin que vous puissiez apprécier ce qu’il contient… ».

 le Los Angeles Times :

« Pour éviter une paralysie financière du gouvernement, le président Trump occupe le terrain – intentionnellement ou non – avec des semaines de marchandages brouillons qui pourraient aboutir à une impasse en fin d’année. […] Ses revirements sur des questions clés ont laissé les législateurs incapables de se fier à la Maison Blanche et incertains quant à la résolution d’épineux différends politiques. »

 Où cela nous mène-t-il ? Qui gouverne réellement ? Quel genre de gouvernement est-ce ? Quel est le lien avec le monde de l’argent, notre principale préoccupation à La Chronique ?

Donald Trump : «Que Dieu soit avec les gens de Sutherland Springs»

 
«Que Dieu soit avec les gens de Sutherland Springs. Le FBI et la police sont sur place, je supervise la situation depuis le Japon», a réagi Donald Trump actuellement en tournée en Asie.

Donald Trump : «Que Dieu soit avec les gens de Sutherland Springs»

 

Isolationniste, anti-écologiste, ultra-conservateur, anti-immigration, programme flou, les américains vont quand même pas donner les clefs de la maison blanche à ce milliardaire populiste ????! #Sueursfroides

 

Expérience zéro en politique, misogyne, islamophobe, mexicanophobe et climato-sceptique : Donald Trump avait tout pour se faire détester par tous, les démocrates, les républicains -son propre camp- ou la majeure partie de la communauté internationale. Pourtant, c'est bien lui qui devient le nouveau président américain. Déjouant tous les pronostics, il a remporté une victoire incontestable, porté apparement par une volonté de renouvellement de la classe politique. 

Donald Trump, la victoire de l'anti-establishment | ARTE Info

VIDEO. Donald Trump et l'extrême droite américaine, la "love story" ?

L’homme qui murmure a l’oreille de Trump


 
A lire Donald Trump, la victoire de l'anti-establishment | ARTE Info : VIDEO. Donald Trump et l'extrême droite américaine, la "love story" ? L’homme qui murmure a l’oreille de Trump  / Documentaire Politique : Noter ce docu Dans la même catégorie
 
L'inquiétant tournant religieux des populistes euro-américains
 
 
Donald Trump, le 1er novembre, lors d'un meeting dans le Wisconsin. 
 
De Orbán à Trump, on assiste à une instrumentalisation croissante du phénomène religieux comme véritable marqueur ethnique et identitaire. Une monstruosité politique qui est donc loin d’être purement américaine.

«Levez la main si vous n’êtes pas un conservateur chrétien.» C’est ainsi que Donald Trump prenait récemment son public à partie lors d’un meeting dans l’Iowa. Lorsque quelques personnes levèrent la main, il interpella le reste de l’auditoire : «On les garde dans la salle ? Allez, on les garde…»

Cet épisode illustre bien les efforts de Trump pour apparaître comme un fidèle chrétien. Depuis le début de la campagne, il prétend jouer le rôle de sauveur. Sa mission est de défendre le peuple chrétien contre toutes sortes de menaces, notamment celle que représentent les musulmans auxquels il faudrait interdire l’entrée aux Etats-Unis.

Trump n’a rien inventé…

Rire ou s’épouvanter de la dernière sortie du «Donald» est devenu le passe-temps favori des Européens. Pourtant, cette monstruosité politique est loin d’être purement américaine. Trump n’a, d’une certaine façon, rien inventé. L’instrumentalisation de la religion par la droite populiste dans les démocraties occidentales n’est pas nouvelle. Comme nous le montrons dans l’ouvrage que nous venons de publier avec Olivier Roy, Saving the People ? How Populists Hijack Religion, cela fait des années que les leaders populistes européens qui semblent avoir inspiré Trump utilisent la religion pour déterminer qui fait partie ou non du bon peuple. Aujourd’hui, la standardisation et la synchronisation des populismes européens et américains offrent une image inquiétante de la condition des démocraties occidentales.

La rhétorique de la droite populiste parodie plus qu’elle ne promeut le discours religieux. Elle promet au «peuple» une rédemption morale et met en garde contre le risque de damnation. Pour les populistes, le peuple, toujours vertueux, est doublement menacé, par, en haut, les élites libérales corrompues et, en bas, par une série d’«autres» dangereux, en particulier les musulmans.

Au-delà de l’apocalypse

Mais les populistes d’extrême droite ne se contentent pas de prêcher l’apocalypse. Ils offrent aussi à leurs adeptes le salut et la disculpation. Ils leur disent qu’ils ne sont en rien responsables des crises que traverse le pays. Au contraire, ces citoyens irréprochables sont les victimes des élites et des «étrangers». Soutenir un chef populiste, c’est donc une condition nécessaire pour qu’un peuple cesse de devenir une victime passive et qu’un pays «redevienne grand» comme dirait Trump.

Surtout, la religion des populistes n’est pas une affaire de foi ou de valeur, mais un marqueur identitaire qui permet de distinguer ceux qui peuvent être inclus de ceux qui doivent être exclus de la communauté politique. C’est ce qui permet de comprendre pourquoi les évangéliques de droite votent pour Trump, alors que son style de vie n’a rien de religieux.

Il faut comprendre ce soutien dans le contexte d’une polarisation politique telle que l’adhésion à un parti relève aujourd’hui plus d’une logique d’adhésion tribale que d’une préférence rationnelle. Comme l’explique le sociologue Philip Gorski, «le trumpisme est une forme séculière de nationalisme religieux». La religion y fonctionne, comme dans tous les populismes de droite que nous avons examinés, comme un marqueur ethnique et identitaire. Robert P. Jones suggère de même dans son livre sur la fin de l’Amérique blanche chrétienne que le soutien au nationalisme religieux de Trump exprime une nostalgie pour l’Amérique des années 1950, celle d’avant les droits civils, l’égalité de genre et le mariage homosexuel.

C’est dans cette perspective aussi qu’on peut expliquer l’importance du thème de la menace islamique dans la campagne de Trump, dans un pays où les musulmans ne représentent qu’à peine 1% de la population globale. Là encore, Trump a reproduit presque mot pour mot le script des populistes européens. Pour ceux-ci comme pour Trump, la culture nationale est réduite à une série de codes et de symboles qui servent de marqueurs identitaires. La Ligue du Nord en Italie, l’UDC en Suisse ou le Parti de la liberté en Autriche ont tous fait campagne contre la construction de mosquées et de minarets. Ces partis affirment que les mosquées menacent l’intégrité du territoire de la communauté autochtone.

Les idées d’invasion, d’infiltration, de complot et de remplacement sont devenues des lieux communs du répertoire populiste euro-américain. On a vu aussi se propager l’argument selon lequel l’islam n’est pas une religion, mais plutôt un code militaire et juridique, une idéologie politique qui est sous-jacente à un plan de conquête des démocraties libérales occidentales. C’est ce qu’affirme Geert Wilders depuis des années. Pauline Hanson a inclus cet argument à sa campagne électorale en Australie cette année.

Entre discours mainstream et populistes

Bien qu’extrêmes, ces arguments lancés par la droite populiste sont devenus très courants dans les débats publics. Un cercle vicieux s’est mis en place par lequel les discours mainstream et populistes s’alimentent réciproquement. Comme l’affirme le politologue Cas Mudde, nous vivons de plus en plus clairement dans un zeitgeist populiste, où la religion tout comme la culture sont réduites à des modalités d’appartenance.

Des voix s’élèvent parmi les autorités religieuses et les théologiens pour résister à cette instrumentalisation du religieux. Le théologien évangélique Miroslav Volf rappelait dans un entretien récent que le christianisme est une affaire de foi, et de défense du bien commun et de valeurs. A ce titre, il affirme que la vision du monde d’Hillary Clinton «est plus en phase avec la foi chrétienne que celle de Donald Trump».

Plutôt que de s’indigner des provocations du candidat républicain comme s’il s’agissait d’un phénomène purement américain, reflétant la prétendue bigoterie de l’électorat évangélique local, il importe de s’interroger sur le double processus de formatage qui s’affirme sous nos yeux : celui des discours populistes européens et américains, qui se servent tous de la religion comme d’un marqueur identitaire ; et celui des discours populistes et mainstream.

On assiste ainsi, sous l’influence de la droite populiste, à une instrumentalisation croissante de la religion dans le discours politique occidental pour exprimer l’appartenance et non la croyance, pour défendre la chrétienté et non le christianisme, pour exclure et non pour inclure. Le défi, pour ceux qui tiennent aux démocraties séculières occidentales, sera de briser ces murs, réels et symboliques, que les populistes euro-américains, de Orbán à Trump, veulent construire à tout prix.

Saving the People ? How Populists Hijack Religion, co-dirigé par N. Marzouki, D. McDonnell et Olivier Roy, a été publié par Hurst en Europe et par Oxford University Press aux Etats-Unis.

 
Par Nadia Marzouki Chargée de recherche au CNRS et professeur invité à la Kennedy School de Harvard. Duncan McDonnell Professeur associé à La School of Government and International Relations de l’université de Griffith, à Brisbane, en Australie


Des groupes d'extrême droite encouragés par la victoire de Trump
 
Goldman Sachs et la Maison Blanche, une histoire d’allers-retours et d’intérêts bien compris
 
 Donald Trump ne fait pas exception, en dépit de son discours hostile aux élites, annonçant d’emblée l’arrivée de trois anciens « Goldman boys » à des postes-clés. S’il est une entreprise qui est sortie gagnante de l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis, c’est bien la banque d’affaires Goldman Sachsdont le cours en Bourse s’est amélioré d’un tiers depuis le 8 novembre. Institution financière réputée, Goldman Sachs a longtemps été le lieu d’où venaient et où atterrissaient les hauts fonctionnaires, du Trésor en particulier, suivant la dynamique desrevolving doors (« portes tambour », en français, c’est-à-dire le passage du public au privé).
 
L’actuel dirigeant de la banque, Lloyd Blankfein, a lui-même estimé que celui, dont il ne pouvait pas « imaginer » quelques mois plus tôt « qu’il ait le pouvoir nucléaire », était un « gars intelligent » :« M. Trump pourrait se révéler un bien meilleur président que tous les gens qui ont occupé cette place »saluait-il dernièrement.

Ce travail quantitatif ne permet pas de visualiser la totalité des liens entre la banque et le pouvoir politique, mais il permet d’en tracer les grandes lignes. Premier enseignement, c’est sous l’administration Bush que la pieuvre a étendu ses ramifications, avec le plus de puissance, en nombre d’employés recrutés mais aussi d’organismes pénétrés.

Hate in Trump's America

Fault Lines examines the rise of hate in the United States and the toll it is taking on communities across the country.

01 Nov 2017 11:11 GMT RacismUnited StatesDonald Trump

 
 
Dans la première semaine après que Donald Trump a remporté l'élection présidentielle américaine, les United States ont vu une forte augmentation des crimes de haine et des personnes attaquées en raison de leur race, leur appartenance ethnique ou leur religion.

NEWS / UNITED STATES Florida university students to counter neo-Nazi rally

by 
an hour ago
 
 
Members of the National Socialist Movement demonstrate in Washington, DC, in 2008 [Haraz N. Ghanbari/AP Photo]
Members of the National Socialist Movement demonstrate in Washington, DC, in 2008 [Haraz N. Ghanbari/AP Photo]

 

Police infiltrée

Dans un courriel envoyé aux étudiants, aux professeurs, au personnel et aux parents, le président de la FNU, John Delaney, a assuré la communauté universitaire que des mesures de sécurité appropriées étaient en cours.

"Je souhaiterais avoir une baguette magique qui pourrait résoudre tout cela et pourrait résoudre les problèmes historiques du racisme, de l'homophobie, de l'antisémitisme, etc.", a-t-il dit dans le courriel, qui a été fourni à Al Jazeera. "Je souhaite vraiment que nous puissions enlever la douleur et la peur."

Expliquant que l'université coordonne avec le département du shérif de Jacksonville, Delaney a dit que le campus apporterait "la police supplémentaire dans l'uniforme et aussi undercover".

"La pratique des forces de l'ordre est de demander qu'il n'y ait pas de contre-proposition, il y a toujours une possibilité de friction entre les parties adverses", a ajouté Delaney, exhortant les deux parties à "protester pacifiquement".

En réponse, Williamson du SDS a déclaré: "Voulez-vous vraiment que les étudiants ne repoussent pas les nazis sur le campus? C'est inacceptable."

Selon le Southern Poverty Law Center (SPLC), un organisme de surveillance basé en Alabama qui surveille les groupes haineux, le NSM est la plus grande organisation néonazie des États-Unis et comptait 61 chapitres dans 35 États en 2009.

S'adressant à Al Jazeera par courriel, le commandant de la SNM, Jeff Schoepp, a confirmé que Parker était membre de son organisation. Il a évoqué la suspension de Parker dans le cadre d'une «chasse aux sorcières politique, pure et simple».

"Le nationalisme blanc est en train de monter, et si ces fous de gauche s'attendent à être traités équitablement quand notre temps arrivera, ils feraient mieux de quitter leur idéologie du punch-a-nazi-et-kill-white-people ... ou il pourrait revenir de les mordre plus tard quand les tables auront tourné ", a déclaré Schoepp.

Campus en tant que point focal

Le rassemblement et la contre-manifestation surviennent au milieu des tensions accrues sur white supremacist activity sur les campus à travers les États-Unis.

En octobre, plus d'un millier d'étudiants et de membres de la communauté ont held a demonstration à l'Université de Floride à Gainesville pour s'opposer à un discours de Richard Spencer, un leader de l'alt-droite.

 White supremacists have increasing clashed with anti-fascists throughout the US [File: Reuters

 
 
L'alt-right est une coalition vaguement tissée d'organisations suprématistes blanches, nationalistes blanches et néo-nazies qui prônent un ethno-état blanc.

Les groupes néo-nazis et la suprématie blanche ont fait face à des widespread public backlash depuis le rassemblement meurtrier «"Unite the Right" » à Charlottesville, en Virginie, le 12 août. Le NSM était parmi les groupes qui ont participé à la manifestation.

 

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Pendant ce rassemblement, des centaines d'extrême-droite sont descendus dans la ville pour protester contre la décision de retirer un monument confédéré. Ils ont affronté des membres de la communauté, des activistes et des antifascistes à travers Charlottesville.

Cet après-midi, JJames Alex Fields, un résident de l'Ohio âgé de 20 ans qui avait été photographié en compagnie d'un groupe néo-nazi plus tôt dans la journée, aurait fait une marche et tué Heather, une activiste antiraciste de 32 ans. Heyer. Au moins 19 autres personnes ont été blessées dans l'incident.

Selon le SPLC, au moins 130 KKK chapters, 100 organisations nationalistes blanches et 99 groupes néo-nazis sont actuellement actifs aux États-Unis.

Le groupe de surveillance a documenté une sharp uptick - forte hausse des efforts de recruitment efforts on US universities cette année, avec au moins 329 incidents de dépliants nationalistes blancs distribués dans 241 campus universitaires entre le 1er janvier et le 17 octobre.

Plus tôt ce mois-ci, le Federal Bureau of Investigations a fait état d'un taux élevé de crimes haineux - reported a five-year high sur cinq ans, avec une augmentation de cinq pour cent en 2016 par rapport à l'année précédente.

 

Selon Slate.fr Ils doivent savoir qu'il ne sera JAMAIS anodin de faire des saluts hitlériens dans les rues, et qu'ils devront en répondre.  dans "Oui, il faut révéler les identités des néonazis" Après tout, ils assument de se montrer en public pour crier leur haine. Partager .

 

This episode of VICE News Tonight originally aired August 14, 2017 on HBO. Watch VICE News Tonight's full episode "Charlottesville: Race and Terror"NEWS.VICE.COM

A new anti-fascist website tracks the location and activities of people affiliated with Daily Stormer, one of the largest neo-Nazi websites in the United States.

Launched on January 28, FashMaps is an activist-run initiative that seeks to inform local communities about the presence and gatherings of neo-Nazis in their area.

At the time of its launch, FashMaps had around 700 pins, signifying Daily Stormer meet-ups in cities and towns in almost every state across the US, and to a lesser degree, in Canada, the UK, Australia and Southeast Asia. 

Added points in Canada, Australia, South America. Be sure to clear your browser cache to view new data. More coming soon!http://fashmaps.com/2018/01/28/daily-stormer-nazis-organizing-in-the-us/  6:22 PM - Feb 1, 2018

Nazis In Your Neighborhood

Follow us on Twitter @fashmaps This map is an ongoing project to track the locations and activities of active, self-identified Nazis around the United States. NOTE: THE MAP MAY NOT LOAD IN GOOGLE...

fashmaps.com

The far right has grown throughout the campaign and presidency of right-wing President Donald Trump, with groups proliferating across the country.

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Among those were 30 Ku Klux Klan chapters, 100 white nationalist organisations and 99 neo-Nazi groups.

'If citizens remain silent, fascism will win'

For his part, Simon said that FashMaps does not post the locations of Daily Stormer meet-ups with the hopes of inspiring violence or harassment. All of the information Simon and his team publish is already publicly available. 

Last month, the Anti Defamation League released a report that found 18 people were killed by white supremacists in 2017. 

Simon concluded: "If citizens remain silent, fascism will win."

SOURCE: AL JAZEERA NEWS 

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NEWS/UNITED STATESFashMaps website tracks neo-Nazis in the US by

Les visées sur l'Europe, en utilisant des mouvements d'extrême droite pour imposer ces intérêts économiques et sa vision rétrogrades de la société.

L'oeil de Moscou - : citoyen actif :  Le Système Poutine,le populisme au féminin - Par Enkolo dans Accueil le  1 En Pologne, 60 000 personnes défilent à l’appel de l’extrême droite , Seulement un mauvais rêve ? : citoyen actif, Où va la Pologne ?, 13 novembre 2017 LE MONDE ENTIER DEVIENT FASCISTE ,  Ou va la Pologne ?Qu’est-ce que le fascisme ? -   citoyenactif

 
 
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